Tinder : Ce qu’ils seront venus chercher, ce qu’ils y ont degote

Tinder : Ce qu’ils seront venus chercher, ce qu’ils y ont degote

Par Tiphanie Benard

Dans un monde En plus qui plus est connecte, les fonds de rencontrer l’amour sur internet se multiplient. Accessibles a l’ensemble de, et a tous, d’un simple clic ou d’un swipe, faire une retrouve grace aux applications et sites de rencontre est en mesure de etre tentant et les resultats… plus ou moins concluants ! Des utilisateurs racontent leurs experimentations.

« Les sites de rencontre ont surtout reussi a me rendre aigrie, que ce soit vis a vis des hommes ou de l’amour d’ordinaire. »

Magalie, 41 ans, celibataire, s’est inscrite i  propos des sites de rencontre avec depit mais les a quittes decue

« J’me suis mise aux sites de rencontre a la trentaine parce que toutes faire mes potes etaient mariees, parce que j’avais peu de chance de rencontrer quelqu’un au travail et que je ne suis jamais beaucoup.

J’ai eu 2 hommes « bon » avec qui ca collait bien mais qui ne souhaitaient finalement nullement s’engager (l’une des histoires a dure 8 mois, l’autre 1 an et demi). Deux histoires donc, via une quantite non negligeable d’hommes ne souhaitant que du sexe, d’autres avec qui ca ne collait pas, d’autres encore qui ne passaient pas l’etape des echanges ecrits mais vous gardent sous mon tour « au cas ou » et bien ceux qui ne discutaient meme pas et vous envoyaient leur numero (voir d’autres trucs jamais vraiment souhaitables). c’est un retour via investissement plutot triste! J’ai arrete les sites gratuits pensant qu’en payant 1 abonnement, cela ferait un premier « tri » mais i§a n’a jamais change grand chose.

J’ai alterne les inscriptions, parce que j’en avais marre d’etre seule, ainsi, les desinscriptions parce que j’en avais marre de n’etre contactee que par des « cas ». Du coup j’ai ete inscrite quelques annees sur multiples sites. Neanmoins, le pire pour moi, c’est votre que j’appelle Notre « maladie une decennie des e-boutiques de rencontre » : le ghosting! C’est une horreur et c’est encore en plus utilise! J’imagine que les sites y seront Afin de nombre. Ardu de gerer cette sensation de ne point exister quand l’ego reste deja fragilise via le principe meme de frequenter ces sites (j’ai entendu un journaliste parler de « misere affective » un jour, ca m’a totalement abattue).

Je n’y suis plus depuis 3 annees et. je suis celibataire depuis 3 ans. J’ai souvent pense a y retourner mais j’ai ete tellement decue. donc je rencontre bbw noir commence a me resigner, a me penser que, comme je n’ai nullement d’autre moyen de rencontre, je resterai probablement celibataire. Je commence a renoncer a l’idee d’avoir des enfants.

I  mon sens, les histoires de couples qui se sont rencontres et vivent content grace aux sites de rencontre, ca tient une legende urbaine. Je n’en connais pas, ce sont forcement « des amis d’amis », a croire qu’ils n’existent pas vraiment. Je suis toujours effaree via la rapidite avec laquelle Divers des couples se mettent ensemble, vivent ensemble et fondent une famille. concernant quelle planete vivent-ils? Visiblement nullement sur la meme que la mienne! Au final, J’me dis que je ne suis peut-etre simplement nullement faite pour ca (des sites, le couple, l’amour. ) ou que j’suis peut-etre maudite.

Bref, les sites, ca a surtout reussi a me rendre aigrie, que votre soit vis a vis des hommes ou de l’amour ordinairement. »

« me concernant, c’est plus aise d’aborder quelqu’un via Tinder que de presenter un verre a une femme dans un bar. »

Nicolas, 30 ans, de nature reservee, recherche le grand amour online (en vain)

« Je suis inscrit via Tinder depuis environ un an et je recherche une relation de longue duree, l’amour de ma life ! Meme s’il s’fait plus rare que les histoires d’un soir ou des rencontres amicales, j’imagine que l’on pourra tout de meme tomber sur l’amour concernant ces applications. Il va falloir d’la patience, ou de la chance, pour rencontrer la bonne personne.

Tinder me permet de rencontrer des femmes avec qui je n’ai pas l’habitude de parler dans la vraie vie, qui ne travaillent pas dans mon milieu, et qui n’ont pas toujours analogues centres d’interets que moi.

Je me suis inscrit dans Tinder car ces derniers moment, dans ma vie, il n’y avait personne d’interessant dans mon entourage et quand il y en avait, l’interet n’etait pas reciproque. C’est grand aussi que je me suis inscrit car j’suis de constitution legerement reservee, aussi si ca s’ameliore un peu. Dans un sens, me concernant, c’est plus facile d’aborder quelqu’un concernant Tinder que de presenter un verre a une femme dans un bar. C’est vrai que les individus ont la possibilite de se cacher derriere un telephone et raconter n’importe quoi, mais moi, j’ai toujours ete sincere.

Au moment oi? j’ai commence a frequenter ces applications, des que la photo me plaisait, j’allais voir le profil pour en decouvrir plus sur la personne. S’il y avait un « match » – donc si c’etait reciproque – on discutait un peu mais il n’y avait moyennement de « feeling ». De ce fait, je n’ai rencontre personne sur Tinder contrairement a deux autres applications : Happn et Fruits. Pour ces rendez-vous la, on s’est vus un coup dans un lieu – un bar, un musee – Afin de discuter, faire connaissance. La rencontre n’avait pas grand chose a voir avec des conversations virtuelles. Premierement, il y a 1 petit coup de stress, dans les rencontres en ligne on n’a jamais vu la personne et on ne lui a en general jamais parle de vive voix !

Au debut, j’etais accroc, des que je sortais quelque part, j’ouvrais l’application pour voir s’il y avait des filles interessantes autour de moi. Malheureusement, comme j’ai un profil masculin, je suis limite a un nombre de « likes » via jour n’ayant pas de compte « Premium ». J’etais donc vite bloque et je devais attendre 12 heures avant de i?tre capable de aimer d’autres profils. Et puis a force, je m’en suis lasse car je ne rencontrais personne ou je ne tombais que concernant des faux profils, parfois meme des hommes caches sous un profil de femme me proposant une affaire d’un apri?m.

Je vais bien dans l’application de temps en temps, mais moins qu’avant, peut-etre 2 ou trois fois avec semaine. Maintenant, j’utilise davantage Happn et Fruits qui m’ont permis d’effectuer de vraies rencontres. Si je n’ai jamais construit d’histoire d’amour, j’ai pu i?tre ami avec ces dames. »

« C’etait limite un coup de foudre mutuel. »

Lucie, 22 ans, a rencontre le ex via Tinder

Je suis restee environ 5 mois avec votre homme aussi que votre n’etait pas vraiment ce que je recherchais i  l’origine. Ca fut tres intense puisque c’etait presque son foudre mutuel. Pour lui, ma chance de foudre est instantane, des notre premier rendez-vous, me concernant cela s’est produit quelques jours plus tard.

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